lundi 15 novembre 2010

‎"Where there is love there is life." -- Gandhi


Ceux ne sont pas mes mots, mais je partage pleinement.
Voici pour commencer votre semaine.

C'est vous qui êtes au cœur de toutes vos relations,

ce qui ne veut pas dire au centre.

Vous êtes donc à l’origine de l'estime,

de l'amour et du respect que vous vous portez.

Vous êtes partie prenante de l'amélioration possible de la qualité de vos relations, ce qui ne veut pas dire que vous êtes responsable de toute la relation.

Vous avez la charge ou le plaisir de l’entièreté de votre épanouissement et de votre bonheur.

Ne comptez pas uniquement sur l'autre pour vous soutenir, pour vous rassurer et combler vos besoins, pour apaiser vos craintes ou protéger vos peurs.

N’attendez pas de l’autre la réponse, interrogez vos questions, prolongez vos perceptions, écoutez votre ressenti et faites ainsi confiance à l’imprévisible qui vous habite.

Osez vous définir et marquez la différence, quand l'autre tente de vous définir à partir de sa vision à lui.

Rappelez-vous que dans toute situation, vous pouvez demander, donner, recevoir ou refuser. Vous avez en vous la liberté de refuser ou d’amplifier tout ce qui vient de l’autre, quoiqu’il vienne de l’autre. Cela s’appelle se définir.

Expérimentez avec des projets et respectez vos rêves en créant du réel au-delà de la réalité. Dépassez vos habitudes et ce que vous croyez être vos limites en inventant vos possibles.

Vous ne produisez rien que vous ne puissiez résoudre.

Chaque situation a une double polarité d’énergies négatives et positives. Au-delà du négatif, essayez d’entendre le sens de tout événement.

Vous ne butez sur aucun obstacle qui ne vous conduise à agrandir vos propres ressources.

Prenez soin de vous réellement, journellement, sans démissionner dans les tempêtes et les crises. Vous êtes unique et extraordinaire… même si vous l’avez oublié.

Vivez comme si vous étiez à jamais seul et acceptez de vous relier aux autres chaque fois que cela vous paraît possible…

Voyez les autres comme des cadeaux et mieux encore, comme des présents qui enrichissent votre vie et la prolongent jusqu’aux rires de l’existence. La pire des solitudes n’est pas d’être seul, c’est d’être un compagnon épouvantable pour soi-même… en s’ennuyant en sa propre compagnie.

Gardez-vous d’oublier que la plus grande des pauvretés n’est pas dans le manque mais dans l’ignorance et la négligence du meilleur de nous-mêmes.

Alors n’hésitez plus, soyez un bon compagnon pour vous…

Votre vie saura vous le rendre au centuple.

Jacques Salomé

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